En matière de surveillance d’individus, on trouve différents dégrées de pression.

Dans le contexte qui est celui des personnes ciblées, il existe des surveillances anonymes où l’individu est épié sans qu’il s’en aperçoive. Son environnement est infiltré, ses relations biaisées et le cours de son existence influencée par une entité qui oriente, comme elle l’entend, l’environnement de la personne cible et par conséquent sa destinée.

A l’extrême, on trouve une surveillance alerte où la personne est prise pour cible, où tout est fait pour que la personne ciblée ait conscience de cette surveillance dont le but ultime va être de détruire tous les aspects de son existence.

Les méthodes utilisées à l’encontre des personnes pris pour cible sont pernicieuses. On parle de harcèlement ciblé où seul la personne est incommodée et elle seule, témoin de son harcèlement.

Pour que ce mécanisme de harcèlement fonctionne, il est vital que la personne ne puisse pas se créer un groupe de soutien composé de personnes qui seraient témoins des agissements auxquelles la personne cible fait face.

Ce type de harcèlement est un harcèlement de longue haleine. Une machinerie qui est mis en place par une organisation pour qui le temps et les moyens ne comptent pas.

De par sa nature, le mécanisme est complexe à cerner. La plus grande difficulté de compréhension, et ce même pour les personnes ciblées, est d’admettre comment et pourquoi, une entité, quelle qu’elle soit, mettrait tout en œuvre pour détruire un individu dont le statut social n’a aucun poids dans les rouages de la société ou dans un secteur d’activité particulier.

Si l’objectif ultime nous élude, il n’en reste pas moins que les personnes ciblées qui font face à un mécanisme de pression journalier peuvent apporter leurs témoignages, expliquer ce qu’elles vivent au quotidien, décortiquer les bassesses qu’elles subissent, valider le témoignage de personnes qui vivent des expériences similaires, affirmer qu’il existe une entité même si elles ne peuvent pas mettre un nom dessus. Les personnes ciblées sont les victimes d’un système qu’elles n’ont pas mis en place. Les accuser d’imaginer une situation qui, au demeurant, dépasse l’entendement de tous, serait ignorer une situation qui touche notre société dans son intégralité.

Le témoignage est la seule valeur ajoutée que les personnes ciblées peuvent apporter.

En listant une à une les méthodes utilisées, on arrive à comprendre le travail psychologique qui est à l’œuvre. Le pourquoi sera, on l’espère, un jour, dévoilé.

Au sein du système en place, soyons confiant qu’un jour, une personne de courage aura le cran de s’élever et de témoigner contre un système où chaque citoyen est, ou sera, un moment où un autre dans sa vie, victime.

Les méthodes

Il faut garder en mémoire en lisant les méthodes brièvement listées ci-dessous qu’elles sont appliquées sur la personne ciblée sans relâche, 24 heures sur 24, 7jours sur 7 et qu’aussi insignifiantes qu’elles puissent paraitre, l’objectif premier de toutes ces actions rassemblées est la destruction psychologique d’une personne.

Cette liste n’est pas exhaustive, elle est mise à jour progressivement, généralement au moins une fois par semaine.

Pollution de l’environnement de la personne cible

L’environnement quotidien de la personne cible va être infiltré de telles sorte qu’elle va progressivement évoluer dans un environnement contrôlé. Ses interactions avec toutes personnes extérieures non parties au programme vont être entachées par des ouï-dire, de telle sorte que progressivement les personnes extérieures vont se fermer à la personne cible. Les civilités réduites à leurs minimums ou deviendront inexistantes.

Entrave à l’obtention d’un emploi, souvent par le colportage de ragots.

Si la personne arrive à se faire embaucher sur un poste de travail, son lieu de travail sera rapidement pollué par des personnes qui répondent soit à une communauté, soit à un individu à qui il donne sans sourciller leur libre arbitraire et leur liberté de pensée.

Si la personne cible est assez chanceuse de trouver un lieu de travail sain, c’est à dire où son environnement et les individus qui le composent sont intègres et assez forts pour ne pas se laisser influencer, dès l’embauche suivante au sein de la société, l’infiltration ne manquera pas.

Situation financière compromise par tous les moyens.

Les problèmes administratifs, professionnels vont s’accumuler. Les refus et les non-droits vont devenir plus fréquents. La personne cible va progressivement rentrer dans un labyrinthe de procédure sans fin, de dossiers perdus, égarés, non traités. Il deviendra très difficile à la personne cible de faire face à toutes les entraves. Les courriers postaux se trouveront également perdus ou égarés.

Le syndrome du Pied de grue

C’est ici un élément majeur du harcèlement de la personne cible.

Du jour où le harcèlement se révèle à la personne, il se trouvera toujours, au moins une personne et bien plus, qui se postera devant la personne cible, à très proche distance. Toujours sur le même angle, dans le but de créer un schéma qui sera immédiatement reconnu par la personne cible.

De partout, où la personne cible se rendra, quelqu’un se postera devant elle.

Cette technique qui semble dès plus basique est un vecteur de stress quotidien pour la personne cible. Incompréhensible de par son ampleur. Incohérente par sa puissance et sa force, cette méthode est un catalyseur très fort de stress qui est utilisée sans relâche dès que la personne cible sort de son domicile.

Cette technique mérite à elle seule une section à part pour expliquer l’implication et surtout l’organisation qui est demandée pour arriver à une telle prouesse.

Il semble que les hommes ciblées aient majoritairement des Pieds de grue hommes et les femmes, des Pieds de grue femmes.

La technique du “huffing and puffing”

Lorsque l’environnement de la personne est finalement cloisonné, isolé de toutes communications saines et positives, que les contacts avec l’extérieur sont à leur minimum, la moindre interaction restera épiée et réduite à néant le plus rapidement possible. Si la personne cible se trouve, par exemple, dans un magasin et engage une conversation avec une caissière ou un employé, immédiatement, quelques personnes arriveront derrière la personne cible (si elles ne l’ont pas déjà précédé dans un but chronophage – voir plus loin) et monteront des signes d’impatience notable pour que la conversation ne s’étende pas et qu’ils soient servis le plus rapidement possible.

Colportage de ragots

Dans les magasins, on mentionnera à l’entrée des caisses aux agents de sécurité, que la personne est susceptible de voler ce qui aura pour immédiate conséquence de la voir se faire contrôler à la sortie et suivi par le personnel de sécurité du magasin.

Par ce procédé simple, la personne ciblée va se retrouver lors de ses courses quotidiennes sous un stress supplémentaire à ce qu’elle vit déjà au quotidien. Souvent, elle va percevoir le personnel de sécurité de l’établissement ou les caissières comme faisant partis du harcèlement global qu’elle subit.

Dans les restaurants ou bars, toujours dans un souci de couper la personne cible de toute possible interaction avec des personnes “non parties au programme”, dans les cas les plus extrêmes, des accréditations de force de l’ordre sont montrées aux chefs d’établissement en leur demandant de n’interagir avec la personne ciblée sous aucun prétexte pour cause d’enquête de la plus haute gravité. Ces colportages de ragots vont avoir pour immédiate conséquence pour la personne ciblée d’être traitée avec extrême condescendance et parfois même sera servi avec des plats mal préparés, pas commandés, froids, la liste des bassesses n’est pas importante, l’essentiel est que la personne ciblée comprenne qu’elle est visée et pas désirée dans l’établissement.

Dans tous les cas, si la personne est avec des amis ou famille, des “agents” se posteront à une très proche proximité de la personne cible pour écouter sa conversation. Si la personne cible est seul(e), son environnement sera de la même manière pollué avec pour double objectif, d’éviter tout nouveau contact pour la personne cible en dehors du “programme” ou d’infiltrer la personne cible.

Harcèlement par le bruit

Dans les endroits où la personne cible pourra trouver du repos, l’ingénuité est le mot d’ordre pour déranger la quiétude par des bruits sonores (moteurs, téléphones, travaux, klaxons, personnes au téléphone). Il n’est pas rare que le domicile de la personne cible finisse par faire l’objet de bruits de voisinage ciblés.

Création à la réaction de stimulus tels que les klaxons de véhicule.

Chronophage

Tout est fait pour faire perdre à la personne cible du temps. A côté de toutes les difficultés qui lui seront créées, tout sera mis en œuvre pour que la personne cible ne puisse pas trouver de moments de détente ou de repos. L’intrusion est constante, quotidienne et les ingénuités en la matière ne connait que peu de limite.

Dévalorisation de la personne

Présence d’une personne silencieusement agressive envers la personne cible sur son lieu de travail, souvent mais pas seulement, afin qu’avec le temps, une confrontation éclate et vienne mettre à mal la réputation de la personne cible.

Réputation entachée

Infiltration de personnes sur le plan personnel et sentimental qui vont venir détruire après un certain temps de confiance la personne cible.

Lorsque la personne cible commence à affirmer qu’elle est victime de harcèlement de la part d’une entité gouvernementale ou d’un quelconque réseau, c’est en soi une étape importante de la détérioration de la personne. Cette affirmation va être utilisée contre elle en argumentant que la personne est instable ou psychologiquement fragile.

Interception de tous les moyens de communications téléphoniques et courriels

Pour qu’il y ait interception des communications téléphoniques, il semble que la personne “espion” doive se trouver à une distance raisonnable de la personne cible. Cet état de fait créé des situations loufoques à souhait. Le but reste le même, c’est à dire prévenir et contrôler toutes communications que la personne ciblée pourrait avoir avec une personne externe.

Filatures organisées en voitures pour conducteurs et piétons ciblés

Lors de filatures en voitures, un harcèlement d’état se précise.

L’organisation, la minutie et le professionnalisme de ces filatures sont telles qu’il est impossible de croire qu’une entité autre qu’un pouvoir gouvernementale puisse avec l’envergure d’agir avec une telle efficacité. Les manœuvres sont précisément exécutées et la coordination des véhicules ne laissent aucun doute sur l’entrainement qui a été nécessaire pour que ces techniques soient effectives. On parle d’une minutie militarisée, de codes utilisées de concert entre véhicules.

Filatures dans tous les moyens de transport publics (métro, bus, tramways)

À nouveau, c’est dans ces circonstances, que l’étendue de l’organisation en place ne fait plus de doute et que la conviction d’un harcèlement d’état se forge.

Les filatures “humaines” dans les moyens de transport publics sont extrêmement bien huilées. La coordination est sans faille. Le nombre de personnes impliquées impressionnant.

Dans le métro ou tram, lorsqu’il y a filature, il semble y avoir deux personnes en tête ou queue wagons qui supervisent ou sont responsables en cas de problème. Les personnes de sexe féminin sont recrutées avec la même logique des pickpockets. De taille moyenne, peu souvent blonde aux yeux bleus trop repérables et difficiles à se fondre dans la masse des voyageurs, ce qui empêchent tout “recyclage”, c’est à dire, changement rapide de vêtements ou de coiffure pour poursuivre la filature, les agents en place sont parfaitement bien coordonnées grâce bien évidemment à leurs téléphones et à celui de la personne cible…

Il n’est pas rare d’entendre les personnes cibles dire d’avoir croisé la même personne coiffée et habillée différemment dans un laps de temps très court. Cette affirmation tend à faire douter de la parole de la personne ciblée alors que la technique de changement de vêtements et de coiffure est connue et pratiquée par tous les détectives privées et les services de police.

En termes de nombres de personnels, on aimerait savoir quelle entité de surveillance a de tels moyens de filature à sa disposition.

Il ne faut pas perdre de vue que ces moyens sont utilisés pour apeurer une personne, pour briser toute la confiance qu’elle a dans son environnement proche, dans la société et pour détruire la personne qu’elle est.

Filatures dans des endroits clos et sécurisés tels que les aéroports

Ce type de filatures ne laissent plus aucun doute sur une implication d’état ou de coopération européenne ou/et internationale.

La personne cible se retrouve, comme à l’extérieur, face aux “pieds de grue”, à des semblants de “spectacle de rue” où des interactions totalement illogiques et dénuées de sens vont avoir lieu.

Ces situations vont exacerbées chez la personne cible un sentiment d’impuissance encore plus important puisqu’il apparait qu’aucun lieu ne soit sécurisé et inaccessible au harcèlement qu’elle subit.